Bartoloméo Pontin « Nous n’avons plus rien à perdre »

21 octobre 2013

Lydie Lapprand, nouvelle journaliste chez les Hocklines, revient pour nous sur les débuts des trois nouveaux joueurs des Hocklines, Bartoloméo Pontin, Brighton MacDonald et Luca Montanari.
Pour sa première saison chez les Hocklines, Bartoloméo Pontin jeune belge de 22 ans, nous fait partager ses premières semaines à Toulouse ainsi que ses impressions sur le début de la saison. Il revient avec nous sur son impatience à évoluer et jouer au sein du meilleur championnat du monde de Roller Hockey et sur les débuts difficiles de son équipe dans le championnat élite.

Bartolomeo_Pontin

Lydie : Bonjour Bartoloméo, peux tu te présenter en quelques mots ?

Bartoloméo Pontin: « Bonjour, je m'appelle Bartoloméo Pontin, je viens de Belgique et j'ai 22 ans. Je poursuis actuellement mes études à SUPAERO dans le cadre d'un double diplôme (Université Libre de Bruxelles - SUPAERO). Cela fait 17 ans que je joue au roller hockey. En Belgique j'ai toujours évolué au sein des Wolves de Charleroi au poste de défenseur. Avec cette équipe, j'ai participé à plusieurs coupes d'Europe de roller hockey. En 2009, j'ai pris part avec l'équipe nationale Belge au championnat du monde de roller hockey. »

 

Lydie: Pourquoi avoir choisi l'équipe des Hocklines de Toulouse ?

B P: « Quand j’ai décidé de venir à Toulouse pour poursuivre mes études d'ingénieur civil en aéronautique, je me suis renseigné sur l'existence d'un club de roller hockey dans les environs. J'ai pris contact en juillet avec Jon Ostré afin de savoir si je pouvais m'entraîner avec l'équipe. Ayant appris que Toulouse montait en élite, j'étais vraiment très impatient de venir jouer dans le meilleur championnat du monde de roller hockey. »

 

Lydie: Comme on le sait, les Hocklines viennent de monter en élite, la saison s'annonce difficile, comment se passent les débuts en élite avec ta nouvelle équipe ?

B P: « Les débuts en élite sont plutôt difficiles, oui. Le niveau est vraiment supérieur à celui de la Belgique. Le jeu est plus ouvert, plus intense et rapide et je n'ai pas encore tous les réflexes nécessaires au jeu en élite. A côté de cela, l'intégration au sein de l'équipe se passe bien. Les joueurs m'ont vraiment aidé à m'intégrer dans le groupe, ce qui n'est pas forcément facile à réaliser quand les gars se connaissent depuis aussi longtemps. »

 

Lydie: Vous avez perdu vos deux premiers matchs face à Rethel et récemment face à Aubagne, quel est ton sentiment sur cette entrée en matière et quels sont vos objectifs pour la suite ?

B P: « On ne peut pas dire que l'on ait fait le début de saison que l'on espérait. Certes, la défaite contre Rethel était quasiment inévitable, mais celle d'hier aurait dû être évitée. Maintenant, comme l'a expliqué Jon après le match, nous n'avons plus rien à perdre et nous allons devoir bosser afin d'aller chercher des points dans la suite du championnat. »

 

Lydie: Que peut-on te souhaiter pour l'avenir ?

B P: « Une bonne réussite pour mes études et pour le reste de la saison avec les Hocklines. »

Par Lydie Lapprand. Journaliste chez les Hocklines de Toulouse

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